Le Front Polisario, soutenu par le système algérien, est qualifié d’organisation terroriste.

Pendant les dernières années ,des accusations de terrorisme ont été portées contre le Front Polisario, en particulier en ce qui concerne les attaques contre les civils. Selon certains rapports, le groupe aurait été impliqué dans des actes de violence délibérément dirigés contre des non-combattants. Ces actions ont été largement condamnées sur la scène internationale.
le Front Polisario reçoit le soutien de l’Algérie.
Cette dernière fournit une assistance militaire et un soutien politique, compliquant davantage la situation au Sahara marocain.
Les Nations Unies sont impliquées dans la recherche d’une résolution du conflit au Sahara marocain depuis de nombreuses années. Divers accords de paix et cessez-le-feu ont été négociés, mais une résolution finale reste insaisissable.
Ces attaques contre les civils attribuées au Front Polisario sont un aspect préoccupant du conflit continu au Sahara Marocain.
Ces accusations contribuent à la toile complexe de problèmes entourant le différend, y compris l’implication d’États voisins tels que l’Algérie.
Une solution pacifique et durable au conflit du Sahara marocain demeure un objectif de la communauté internationale, mais il est clair que la prise en compte des attaques contre les civils est cruciale pour parvenir à la stabilité et à la justice dans la région.
Dernièrement les explosions à Samara ont été qualifiées d’acte terroriste par d’anciens dirigeants du Polisario.
Elles ont touché des Zones civiles et ont entraîné un décès et trois blessés.
Mustafa Salma, un ancien dirigeant du Polisario, a déclaré que » le front a annoncé dans une lettre adressée au Secrétaire général des Nations Unies le 16 octobre en cours en réponse à son rapport présenté au Conseil de sécurité, a souligné que le ciblage délibéré des civils et des cibles civiles constitue un crime de guerre selon le Statut de la Cour pénale internationale. »