France :Nouvelle Ministre de l’Éducation, Déclenche la Colère des Syndicats Enseignants Maroc lés écoliers de la classe populaire sont privés de leur écoles depuis longtemps

La demande de démission de la ministre de l’Éducation nationale s’intensifie, invoquant le fait qu’elle enseigne à ses enfants dans des écoles privées .
Dans notre Maroc. Tous les membres de la commission spéciale de l’éducation et les ministres font étudier leurs enfants dans des écoles de mission et privées, puis ils prennent des décisions pour les enfants du peuple.
En l’espace de quelques jours depuis son accession au poste de ministre de l’Éducation nationale prenant la relève de Gabriel Attal devenu Premier ministre d’Emmanuel Macron, Émilie Oudia Castéra se retrouve au cœur d’une controverse enflammée. Ses déclarations, jugées « inacceptables » par les syndicats d’enseignants, ont déclenché une réaction virulente au sein de la communauté éducative.
La ministre française a choqué en annonçant publiquement qu’elle avait choisi d’inscrire ses propres enfants dans une école privée, invoquant la « frustration » engendrée par le « gâchis des heures de classe non compensé sérieusement » au sein des écoles publiques. Cette admission a suscité l’indignation des syndicats d’enseignants, qui ont accusé la ministre de porter atteinte violemment à l’éducation publique et de mettre en doute l’intégrité et la qualité de l’enseignement dans les écoles d’État.
Au Maroc, les élèves de la classe populaire sont privés d’éducation depuis un certain temps en raison du refus par les représentants des enseignants de la réforme du ministère de l’Éducation nationale, déclenchant ainsi une vague de contestations. La situation a pris une tournure plus grave avec la fermeture des écoles, privant les enfants de ceux qui ne peuvent pas se permettre de les scolariser ailleurs.
Malgré cette situation inappropriée dans notre Maroc et pour ses enfants, aucun responsable n’a pris d’initiative pour mettre fin à cette hémorragie et cesser de jouer le rôle des sourds face aux véritables perdants qui sont les jeunes issus des classes populaires de demain.